Cartagena - Playa Blanca

Publié le par Jul H

Cartagena _ Playa Blanca (74)




Ne voulant pas trop abuser des ressources touristiques de Carthagène (Adeline y retournant plus tard, et moi y restant jusqu’à l’arrivée des autres nomades de Bogota), nous avons opté pour un choix de premier niveau en partant pour Playa Blanca.

 

Nous avons pris une lancha qui, je me le demande encore, n’a pas coulé vu comment nous étions tassé à l’intérieur, pour nous rendre sur l’île où se trouve cette plage.

Sur les indications de Gilbert, un français qui possédait un hôtel là bas, nous n’avons pas trop de mal à trouver le muelle d’où partent les bateaux.

Beaucoup moins sexe que le muelle touristique, il nous offre un large panel d’ordure en tout genre laissées là à l’abandon dans l’eau ou sur la « plage ».

Après une scène d’anthologie avec des backpacker israéliens et les propriétaires de la barque pour négocier 15 000 pesos et non 17 000 (même si pour la peine ils avaient raison), nous partons finalement pour la fameuse plage paradisiaque.

 

Je dois vous avouer que je ne suis pas particulièrement plage, mais celle-ci vaut vraiment le coup d’œil.

Sable fin (désolé Josh ils n’avaient pas encore importé les cailloux), cocotiers, soleils, la fête quoi.

Nous découvrons avec désarroi que Gilbert risque d’avoir la visite du gouvernement pour le déloger de son hôtel où il est depuis 10 ans (3 ? je ne sais plus trop là), suite à un problème avec les droits de propriété que le dit proprio n’aurait pas tout à fait en norme.

Nous nous rabattons sur ces conseils sur un pote à lui qui a ses moustiquaires, et ma foi, malgré un choix en nourriture faible et des bières un peu chères, ça va.

 

Là le problème ne se pose de que faire sur une plage.

Nager.

Ok ça c’est fait.

Voir les petits poissons jouer avec nous dans l’eau.

Ça c’est fait aussi.

Jouer aux cartes avec nos nouveaux amis Suisses.

Je veux bien mais on n’a pas les mêmes jeux.

 

Je crois que c’est à ce moment qu’Adeline a commencé à s’emmerder et à décider de rentrer à Bogota retrouver une copine française qui devait arriver et avec qui elle devait faire la côté Caraïbe (décidément).

Pour ma part je suis resté avec les Suisses, qui malgré leur gentille et leur bon parlé français, revenaient systématiquement à cet Allemand dont je ne comprends toujours rien.

 

Un peu brûlé.

Un peu malade aussi à cause de l’ultime poisson « frais » mangé sur place.

J’ai donc quitté cet endroit charmant après 3 jours de glandouilles.

 

Après tout il y’avait peut –être d’autres choses à visiter à Carthagène et pleins de super articles à vous pondre…et puis jouer aux cartes en sirotant des jus de fruits c’est définitivement pas mon truc…

 

Advienne que pourra.



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P
Bonsoir bonsoir,merci pr ce récit de voyage particulièrement vivant, et les photos. Bon, à quand la prochaine virée la bas pr les lecteurs qui redemandent du frisson, de l'aventure, de l'humour, du rêve et des gags subtils?Advienne que pourra (lol)
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J
Je suis de retour...merci pour vos commentaires d'encouragement!